Bernadette, Christian et Emmanuel pour l’orphelinat au Congo

 

Chers amis,

Depuis env. 4 ans, Bernadette Pfaff, Christian Cretallaz et Emmanuel Gaudin, nous soutenons bénévolement, au sein de notre petite association Anawa-Humanitaire, une belle oeuvre au Congo (RDC) : l’orphelinat Famille Bethléem. Depuis janvier 2018 nous formons tous les 3 le nouveaux bureau dirigeant de l’association.

Nous essayons d’aider et de soulager le quotidien des 130 enfants orphelins, ainsi que de leur prévoir un meilleur avenir. Nous ne pouvons pas tout assumer, mais nous apportons notre temps, notre énergie, notre cœur et les moyens financiers, grâce à la générosité de nos donateurs.

Nous vous invitons à faire partie de cette famille qui prend soin l’un de l’autre.

Prenez soin d’eux, ils ont besoin de vous…

Comment agir ?

Pour aujourd’hui : Financer nourriture, vêtements, soins, frais scolaires, sanitaires…

Pour l’avenir : Promouvoir l’autonomie afin que l’orphelinat soit capable de s’auto-financer par les projets que nous développons avec les personnes du pays : agriculture, élevage (vaches, poules, chèvres…).

Faire un don – cliquer ici

Merci toujours de votre générosité !

Bernadette, Christian et Emmanuel

Présentation de l’orphelinat Famille Bethléem

Projets d’Anawa-Humanitaire

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Vivre avec les enfants

Lors de notre voyage au Congo nous avons décidés de vivre avec les enfants et de faire l’effort de suivre l’emploi du temps des enfants tel qu’il est : Lever 5h du matin !! prières, toilette, petit déjeuner avec la bouilli, et nous avons accompagné les enfants jusqu’à l’école à pied.

Les danses ne manquent pas pour faire la fête, même les touts petits ont déjà le rythme !

Bernadette

Il a 7 jours…

Anawa-Humanitaire PierreCe bébé a 7 jours quand il arrive à l’orphelinat de Bukavu chez Mama Sifa et Papa Jérôme. Auparavant il aura déjà vécu de grands stress ! Sa maman a 16 ans quand elle le met au monde. C’est une jeune fille qui avait suivi un soldat en poste dans la forêt, dans une zone où la rébellion est sporadique, à 430 km de Bukavu. Sentant venir le moment d’accoucher, elle prend courageusement la route de la ville la plus proche. Malheureusement, elle accouche de son enfant, seule, au bord de la piste, et meurt